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Superbe maison contemporaine de 305 m2 à 10 minutes d'Aix en Provence. Batisse agée de 20 ans, elle est encore avant gardiste, et diffère totalement de ce que l'on peux voir en provence.C'est un maison coup de coeur qu'il faut absolument decouvrir et visiter pour y ressentir la serenité qu'il s'y dégage.

Son jardin, bien que petit (1880 m2) est entièrement paysagé et ornée d'une multitude de rosier et autres plantes à fleurs. Il est facile d'entretien. La piscine à débordement est parfaitement integrée à ce cadre idyllique. Si vous aimez le plantes et les orchidées, l'interieur de la maison offre le meilleur éclairage que l'on puisse avoir.

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Le luxe (lat. luxus) désigne le mode de vie consistant à pratiquer des dépenses somptuaires et superflues, dans le but de s'entourer d'un raffinement fastueux ou par pur goût de l'ostentation, par opposition aux facteurs ne relevant que de la stricte nécessité. Par extension, le luxe désigne également tous les éléments et pratiques permettant de parvenir à ce niveau de vie. Cet aspect d'inutilité est si marquant qu'il est à la base de l'expression péjorative « C'est du luxe ! » qui condamne un investissement déraisonnable. Le luxe véritable n'apparaît généralement pas dans une seule forme ou réalisation et s'accorde mieux avec une certaine profusion semblant si possible illimitée. Le luxe est donc naturellement associé à la richesse qui permet des investissements qui visent le pur agrément et non le profit. Dans le luxe, l'abondance s'associe au superflu pour conférer un sentiment de grande aisance matérielle et de raffinement du goût. Au XVIIIe siècle, cette sensation particulière a été fixée par Voltaire dans une formule un rien paradoxale : « Le superflu, chose très nécessaire. » (poème Le Mondain, 1736). Le luxe s'exprime dans tous les domaines où le plaisir importe puisqu'il y contribue par un registre particulier et quelque fois le constitue presque entièrement, particulièrement pour ceux qui ont le goût du luxe. Ainsi, le luxe peut-il participer à un type d'épicurisme et être subjectivement vécu sous des apparences fort modestes. Le luxe favorise la créativité et l'innovation technique, il stimule les multiples secteurs d'activité qui peuvent conforter tout "consommateur" dans le sentiment qu'il jouit d'une certaine aisance et d'un certain goût. De plus, quand le luxe - quoique toujours un peu élitiste et exceptionnel - peut se concilier avec les séductions de la mode, il incite à des achats de renouvellement qui peuvent ne plus correspondre à aucun besoin réel mais s'avérer très favorables au commerce. Un produit de luxe représente avant tout un label de qualité : l'acheteur sait par avance qu'il a été produit grâce à un savoir-faire au sommet de "l'état de l'art" d'une profession et est donc prêt à payer la rareté d'un tel produit. Le luxe n'a pas toujours été considéré comme un appréciable stimulant économique : en France au XVIIIe siècle, il était généralement accusé de nombre de maux comme de s'accroître au détriment des besoins élémentaires des pauvres ou de favoriser la corruption des mœurs, en particulier celles de la jeunesse : selon Diderot « le luxe ruine le riche et redouble la misère des pauvres. » (Salon de 1767). Pourtant Paris a acquis dès cette époque une réputation de capitale du luxe même si cette réputation n'était pas goûtée de tout le monde : « Que le luxe, croissant tous les jours, commence à devenir un usage onéreux et insoutenable au monde qui l'a inventé, que c'est d'ici [Paris] qu'il se répand dans toute l'Europe... ». (Massillon, Panégyrique de Saint Louis).